On m'a dit de vous dire...
N'allez pas gueuler comme des putois, d'accord?
La proprio du blog n'est pas disponible, vu qu'elle est barrée à Pétaouchnoque pour cause de fermetures d'établissements (elle vous a expliqué son sacerdoce quelque part par là, pour ceux que ça intéresse).
Elle m'a donc refilé ses clés, à moi, l'Emmerdeuse, sa femme, son p'tit loup, sa plaie, son boulet, le sucre dans son café, le glaviot au fond de sa gorge, sa moitié d'orange, son demi-pamplemousse.
Vu qu'elle ne m'a pas laissé de consignes, je pourrais (ceux qui me connaissent en seront convaincus) foutre ici un tel bordel que vous seriez bien en peine de reconnaître le blog après mon passage, vu que quand je veux, je peux être à peu près aussi modérée qu'Attila pendant l'invasion de la Gaule.
Sauf que, justement, Val a la dent plus dure que Sainte Geneviève quand elle défendait Paris contre le roi des Huns, et moi, je n'ai aucune envie de me la mettre à dos.
Je serai donc sage comme une image.
Val m'a chargée de vous dire qu'il se passe des trucs pas très catholiques en ce moment, qu'elle aurait bien voulu vous en parler elle-même, et que ne pouvant décidément pas sécher le boulot, elle mettait dans le dedans de moi toute la confiance dont elle est capable, afin que je vous tienne au jus.
Alors plutôt que d'employer des mots que je risquerais de détourner vulgairement (ayant du mal à ne pas transformer éculé en enculé), je vous donne des pistes et puis vous vous débrouillez un peu tous seuls, hein.
Donc, à ce qu'il semble, ça frémit, ça bouillonne, ça frissonne un peu partout, chez lui, chez elle, et aussi chez moi.
D'ailleurs, illustrons notre propos encore plus simplement:
La proprio du blog n'est pas disponible, vu qu'elle est barrée à Pétaouchnoque pour cause de fermetures d'établissements (elle vous a expliqué son sacerdoce quelque part par là, pour ceux que ça intéresse).
Elle m'a donc refilé ses clés, à moi, l'Emmerdeuse, sa femme, son p'tit loup, sa plaie, son boulet, le sucre dans son café, le glaviot au fond de sa gorge, sa moitié d'orange, son demi-pamplemousse.
Vu qu'elle ne m'a pas laissé de consignes, je pourrais (ceux qui me connaissent en seront convaincus) foutre ici un tel bordel que vous seriez bien en peine de reconnaître le blog après mon passage, vu que quand je veux, je peux être à peu près aussi modérée qu'Attila pendant l'invasion de la Gaule.
Sauf que, justement, Val a la dent plus dure que Sainte Geneviève quand elle défendait Paris contre le roi des Huns, et moi, je n'ai aucune envie de me la mettre à dos.
Je serai donc sage comme une image.
Val m'a chargée de vous dire qu'il se passe des trucs pas très catholiques en ce moment, qu'elle aurait bien voulu vous en parler elle-même, et que ne pouvant décidément pas sécher le boulot, elle mettait dans le dedans de moi toute la confiance dont elle est capable, afin que je vous tienne au jus.
Alors plutôt que d'employer des mots que je risquerais de détourner vulgairement (ayant du mal à ne pas transformer éculé en enculé), je vous donne des pistes et puis vous vous débrouillez un peu tous seuls, hein.
Donc, à ce qu'il semble, ça frémit, ça bouillonne, ça frissonne un peu partout, chez lui, chez elle, et aussi chez moi.
D'ailleurs, illustrons notre propos encore plus simplement:
Voilà.
La suite au prochain numéro.Ne me remerciez pas.
J'aime ma femme.
Et je tiens à la peau de mes fesses.