Double vie
Fichtre, mes sympathiques et si brillants lecteurs n'ont pas tardé à me démasquer!
( Vous ai-je dit qu'en plus d'être intelligents ils sont beaux comme des statues grecques? Avant érosion des parties génitales au fil des siècles, évidemment...)
Ils ont découvert par je ne sais quel miracle que j'entamais une double-vie.
Double-vie bloguesque, entendons-nous bien. En effet cher lecteur, ne me prête pas d'intentions coupables ni d'immoral dessein, si peu accordés à mon tempérament réservé, à la limite de l'insignifiance. Il s'agit d'une double-vie sans conséquences, sinon sur la fréquentation déjà fragile de mon modeste logis virtuel. Rien de moralement répréhensible ni de pénalement condamnable.
J'entends déjà le pas lourd des fossoyeurs virtuels venus sonner l'oraison de mon blog, brûlé sur l'autel de la suffisance. Aux taxidermistes du clavier qui voudraient m'empailler avant même que j'ai pu jeter à l'écran mes plus sombres pensées et mes plus insignifiantes réflexions (surtout) je le dis ferme et haut : Oui, je vais tenter l'impossible, prendre tous les risques (bon ok, j'ai rien à perdre, mais quand même...) et me jeter du haut de la falaise de la création pour tenter un double axel suivi d'un triple lutz piqué, tout ça sans filet, pour le seul plaisir de joindre ma plume à celles d'une bande de trois mousquetaires persifleurs qui me font l'auguste plaisir de m'accueillir dans leur troupe de saltimbanques déjantés.
Non, je ne laisse pas tomber ce blog-ci, et je ferai mon maximum pour l'alimenter à une cadence raisonnable, que malheureusement une vie professionnelle gonflante au possible palpitante ne me permet pas toujours d'animer avec la fréquence voulue.
Dans mon autre vie, je compte sur mes branleurs de vaillants camarades pour agiter haut et fort le drapeau de la déconnade et du dézingage à tout-va au quotidien et je me réserve le plaisir de les rejoindre à l'occasion dans cette nouvelle aventure.
Que la connerie soit et dure à jamais!
Ici et ailleurs.
( Vous ai-je dit qu'en plus d'être intelligents ils sont beaux comme des statues grecques? Avant érosion des parties génitales au fil des siècles, évidemment...)
Ils ont découvert par je ne sais quel miracle que j'entamais une double-vie.
Double-vie bloguesque, entendons-nous bien. En effet cher lecteur, ne me prête pas d'intentions coupables ni d'immoral dessein, si peu accordés à mon tempérament réservé, à la limite de l'insignifiance. Il s'agit d'une double-vie sans conséquences, sinon sur la fréquentation déjà fragile de mon modeste logis virtuel. Rien de moralement répréhensible ni de pénalement condamnable.
J'entends déjà le pas lourd des fossoyeurs virtuels venus sonner l'oraison de mon blog, brûlé sur l'autel de la suffisance. Aux taxidermistes du clavier qui voudraient m'empailler avant même que j'ai pu jeter à l'écran mes plus sombres pensées et mes plus insignifiantes réflexions (surtout) je le dis ferme et haut : Oui, je vais tenter l'impossible, prendre tous les risques (bon ok, j'ai rien à perdre, mais quand même...) et me jeter du haut de la falaise de la création pour tenter un double axel suivi d'un triple lutz piqué, tout ça sans filet, pour le seul plaisir de joindre ma plume à celles d'une bande de trois mousquetaires persifleurs qui me font l'auguste plaisir de m'accueillir dans leur troupe de saltimbanques déjantés.
Non, je ne laisse pas tomber ce blog-ci, et je ferai mon maximum pour l'alimenter à une cadence raisonnable, que malheureusement une vie professionnelle gonflante au possible palpitante ne me permet pas toujours d'animer avec la fréquence voulue.
Dans mon autre vie, je compte sur mes branleurs de vaillants camarades pour agiter haut et fort le drapeau de la déconnade et du dézingage à tout-va au quotidien et je me réserve le plaisir de les rejoindre à l'occasion dans cette nouvelle aventure.
Que la connerie soit et dure à jamais!
Ici et ailleurs.