Passe la balle, man
Un post court mais néanmoins efficace (en tout cas je l'espère) pour vous dire que je me suis régalée en lisant "Temps mort" d'Harlan Coben.
Les puristes, les finasseurs, les rats de bibliothèque et autres adeptes du cathéchisme littéraire selon Lagarde et Michard liront ces lignes avec, au pire une lueur de mépris dans le reflet de leurs lunettes à triple foyer ou, au mieux, un soupçon de condescendance qui m'incitera à leur indiquer en bonne hôtesse que je suis la grande planche de bois sur pivot qui ferme l'appartement, en un mot : la porte.
Et bien tant pis pour eux, moi je me régale à chaque fois que je découvre une nouvelle aventure de Myron Bolitar, l'agent sportif ancien agent secret héros récurrent de Coben.
Au gré de ses aventures il cotoie tantôt le milieu très collé-monté du golf, tantôt il s'aventure dans des milieux plus virils comme le basket dans ce volume-ci.
Originalité du sujet, il s'agit ici de basket féminin (ça nous change du Diable s'habille en Prada et autres ressucées du même accabit).
Le beau Myron fait la connaissance de la jeune Brenda Slaughter, espoir du basket féminin US, dont le père vient de disparaître brutalement, dans des conditions inexpliquées. Le papa en question étant l'ancien entraîneur de Myron du temps où il exerçait ses talents de joueur pro en NBA, vous comprendrez aisément l'intérêt immédiat qu'il porte à l'affaire.
Oui mais voilà, comme dans tout bon polar qui se respecte, les choses ne sont pas si simples : en cherchant le père de la jeune femme il va s'intéresser à la mère, volatilisée depuis 20 ans, se frotter à la bourgeoisie locale riche à millions mais surtout lourde de secrets, jouer à cache cache avec des hommes de mains peu portés sur la négociation, s'interroger sur les motivations qui le poussent à s'empêtrer dans une histoire qui sent le souffre...En un mot il ne va pas s'ennuyer le garçon! Il pourra, comme toujours, compter sur Esperanza, sa fidèle secrétaire et sur Win, son associé aux méthodes inavouables mais redoutablement efficaces...
J'ai passé un excellent moment à lire ces pages, écrites avec une parfaite maîtrise, tant de l'intrigue que du tempo, et une certaine...élégance.
Sobriété, clarté, efficacité, voilà le cocktail de la réussite pour un Coben on the rocks. Allongé d'un lègère dose d'humour, celui-ci se déguste bien frais, en terrasse ou sur la plage (en métro ça marche aussi).
Je vous passe la balle.
Et bien tant pis pour eux, moi je me régale à chaque fois que je découvre une nouvelle aventure de Myron Bolitar, l'agent sportif ancien agent secret héros récurrent de Coben.
Au gré de ses aventures il cotoie tantôt le milieu très collé-monté du golf, tantôt il s'aventure dans des milieux plus virils comme le basket dans ce volume-ci.
Originalité du sujet, il s'agit ici de basket féminin (ça nous change du Diable s'habille en Prada et autres ressucées du même accabit).
Le beau Myron fait la connaissance de la jeune Brenda Slaughter, espoir du basket féminin US, dont le père vient de disparaître brutalement, dans des conditions inexpliquées. Le papa en question étant l'ancien entraîneur de Myron du temps où il exerçait ses talents de joueur pro en NBA, vous comprendrez aisément l'intérêt immédiat qu'il porte à l'affaire.
Oui mais voilà, comme dans tout bon polar qui se respecte, les choses ne sont pas si simples : en cherchant le père de la jeune femme il va s'intéresser à la mère, volatilisée depuis 20 ans, se frotter à la bourgeoisie locale riche à millions mais surtout lourde de secrets, jouer à cache cache avec des hommes de mains peu portés sur la négociation, s'interroger sur les motivations qui le poussent à s'empêtrer dans une histoire qui sent le souffre...En un mot il ne va pas s'ennuyer le garçon! Il pourra, comme toujours, compter sur Esperanza, sa fidèle secrétaire et sur Win, son associé aux méthodes inavouables mais redoutablement efficaces...
J'ai passé un excellent moment à lire ces pages, écrites avec une parfaite maîtrise, tant de l'intrigue que du tempo, et une certaine...élégance.
Sobriété, clarté, efficacité, voilà le cocktail de la réussite pour un Coben on the rocks. Allongé d'un lègère dose d'humour, celui-ci se déguste bien frais, en terrasse ou sur la plage (en métro ça marche aussi).
Je vous passe la balle.