La petite mort...de rire
Je ne résiste pas au plaisir de vous raconter brièvement ma soirée d'hier...
Devant passer le lendemain matin ce foutu examen professionnel, mieux valait que je mette à profit ma soirée pour me détendre, plutôt que potasser encore et encore.
Après que je me sois délassée dans un bain moussant à température idyllique, ma douce moitié me suggère donc, je cite "de mater un film et après de se faire un gros câlin". Pour le film on avait misé sur "le diable s'habille en Prada" sur Canal Cinéma" et heureusement qu'on n'a pas misé des sous. Quelle daube! Aucun intérêt, pas de scénario, du vent sur pellicule. Finalement Meryl Streep, elle est comme de Niro depuis quelques temps, elle doit avoir du mal à payer ses impôts.
Du coup, on a laissé tomber le film et on est allées se coucher.
On a discutaillé de tout et de rien , comme d'hab, et puis on a éteint la lumière.
Comme promis on s'est fait un gros câlin, très chaste, juste collées l'une à l'autre, genre regarde comme on est bien, on va s'endormir comme deux oursons.
Et puis tout d'un coup, la situation a dérapé (et sans doute pas de mon initiative, je suis bien trop prude pour ça, évidemment) et j'ai senti les mimines de ma moitié s'agiter en tout sens sur mon corps sans défense (tiens, on dirait du rap).
Et là, allez savoir pourquoi, rendue sans doute un peu nerveuse par l'échéance du lendemain, j'éclate de rire parce qu'à chaque fois qu'elle m'effleure, j'ai l'impression d'être chatouillée par un régiment. Je ne peux pas m'empêcher de lui demander combien il y a de personnes dans ce lit et si par hasard elle n'aurait pas invité des potes.
Nous voilà prises d'un fou rire tonitruant (pardon à la voisine du dessus) qui nous tient les côtes un moment.
Mais le plus drôle, voyez-vous, c'est qu'on a passé un très, très agréable moment (re-pardon à la voisine du dessus), alternant les moments de très très grande intimité avec les fous rires.
Tout ça pour vous dire qu'il n'y a pas 50 personnes dans une vie avec qui vous pouvez partager ce genre d'expérience.
c'est THE personne.
Faîtes le test!
Devant passer le lendemain matin ce foutu examen professionnel, mieux valait que je mette à profit ma soirée pour me détendre, plutôt que potasser encore et encore.
Après que je me sois délassée dans un bain moussant à température idyllique, ma douce moitié me suggère donc, je cite "de mater un film et après de se faire un gros câlin". Pour le film on avait misé sur "le diable s'habille en Prada" sur Canal Cinéma" et heureusement qu'on n'a pas misé des sous. Quelle daube! Aucun intérêt, pas de scénario, du vent sur pellicule. Finalement Meryl Streep, elle est comme de Niro depuis quelques temps, elle doit avoir du mal à payer ses impôts.
Du coup, on a laissé tomber le film et on est allées se coucher.
On a discutaillé de tout et de rien , comme d'hab, et puis on a éteint la lumière.
Comme promis on s'est fait un gros câlin, très chaste, juste collées l'une à l'autre, genre regarde comme on est bien, on va s'endormir comme deux oursons.
Et puis tout d'un coup, la situation a dérapé (et sans doute pas de mon initiative, je suis bien trop prude pour ça, évidemment) et j'ai senti les mimines de ma moitié s'agiter en tout sens sur mon corps sans défense (tiens, on dirait du rap).
Et là, allez savoir pourquoi, rendue sans doute un peu nerveuse par l'échéance du lendemain, j'éclate de rire parce qu'à chaque fois qu'elle m'effleure, j'ai l'impression d'être chatouillée par un régiment. Je ne peux pas m'empêcher de lui demander combien il y a de personnes dans ce lit et si par hasard elle n'aurait pas invité des potes.
Nous voilà prises d'un fou rire tonitruant (pardon à la voisine du dessus) qui nous tient les côtes un moment.
Mais le plus drôle, voyez-vous, c'est qu'on a passé un très, très agréable moment (re-pardon à la voisine du dessus), alternant les moments de très très grande intimité avec les fous rires.
Tout ça pour vous dire qu'il n'y a pas 50 personnes dans une vie avec qui vous pouvez partager ce genre d'expérience.
c'est THE personne.
Faîtes le test!